Mes paroles sur tes cils ne pèsent pas plus qu'un souffle

Publié le par Jonathan

Lorsque mon coeur fleurit, que mon esprit se fane

Devant ton corps de nuit à l'odeur vespérale,

Caresses de l'été et brûlures hivernales

N'ont plus d'importance car ma raison se pâme.

 

Quand la simple éraflure de ta douce voix de miel

Se change sur mon coeur en une trace éternelle,

Vient creuser un peu plus la tombe de ma tendresse,

Elle attise pareil son feu par la tristesse.

 

Si la tranquille souffrance de nos âmes abouchées

Dans un songe immobile pouvait s'avérer vraie,

Les portes de l'amour finalement s'ouvriraient

Sur une plage dorée pour nous y promener.

 

Mais les mains déposées sur tes deux tendres seins,

Je contemple ta joue et je te parle en vain,

J'ai perdu ton regard, je resserre mon étreinte,

Tu n'entends pas l'accent de ma triste complainte.

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C
Très joli poème, beaucoup de sensibilité dans ces mots
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T
Je suis impardonnable ! Je n'avais encore jamais vu tes écrits... Ce texte-là est très beau, triste, touchant et langoureux.
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G
bien que  ce texte est triste dans le fond, j'aime beaucoup !
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I
rien de plus terrible qu'offrir à qui ne veut ou peux recevoir<br /> pourtant, donner est la seule vraie preuve d'Amour<br /> le miracle est de trouver celui qui prend avec espoir<br /> et alors vient l'envie de  savoir le garder pour toujours
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V
C'est plutôt triste ça Jonathan!!!! pourtant il est bien difficile avec tes mots si tendres de ne pas entendre ce que tu dis!!!! bonne journée ensoleillée ;-)
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